Le vent a tendance à contourner les reliefs sur le coté et par dessus en dernier lieu, ce qui crée une accélération : - Au niveau des cols - Au niveau des crêtes et des sommets. - Dans les fonds de vallée et les canyons. Un effet secondaire est une dépression liée à l’accélération du flux, celle-ci peut provoquer une condensation, elle aggrave l’effet de fœhn éventuel et fait monter légèrement l’altimètre. A contrario, le relief est aussi un obstacle qui, lorsqu’il est abordé perpendiculairement par le vent va produire plusieurs effets : - Des turbulences dangereuses pour la navigation aérienne mais formant abri contre la violence du vent. - Un effet ondulatoire, dont les sommets sont parfois marqués par de splendides nuages lenticulaire (signe de vent important en altitude). N’oublions pas non plus que les plaque à vent sont des éléments durablement instables du manteau neigeux |
L’effet thermique du vent est aussi à prendre en compte, par exemple un vent de 40 km/h par moins 5 degrés équivaut à –23 degrés sans vent. |
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